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Paul Klee (1879 – 1940 ) – Connaissance des Arts 1961 (Print)

Posté par pearoid le 4 février 2021

A l’occasion de la plus grosse acquisition des musées en 1961, la revue Connaissance des Arts édite un article abondamment illustré d’Alain Jouffroy sur la théorie de Klee; « Ne pas peindre ce qui est visible mais rendre visible ce qui ne l’est pas« .

Dans le pastel « Nouvelle d’une amitié » où Klee, professeur au Bauhaus, imposait à ses élèves une  étude systématique de la couleur. « Devant son tableau, il veur retrouver l’état de grâce de l’enfance qui s’émerveille devant le monde« . Dans « Le Grand Dôme », il soumet l’architecture à ses caprices linéaires.

On sait maintenant où Steinberg puisa sa réflexion et son inspiration (réflexion personnelle !)

Paul Klee -1938 - Nouvelle d'une amitié  Paul Klee - 1927 - Le Grand Dôme  Voir les autres Paul Klee sur ce blog

 

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Paul Klee (1879 – 1940) – Editions Nouvelles Images 1995 – Offset

Posté par pearoid le 17 juillet 2018

Editions NouvellesImages 1995 -Offset - signes en jaune format 62x37 sur 70x50 superbe Offset de Paul Klee  » Signes en Jaune » des éditions Nouvelles Images. Tirage inconnu.

Déjà quelques épreuves de lui sur notre blog. (lien)

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Paul Klee (1879 – 1940) – Offset Lithograph – « Général en charge des barbares » ou « Général en chef des barbares » (1932)

Posté par pearoid le 9 juillet 2018

Offset Lithograph sur Arches - Le Général en chef des barbares - format 57x42 sur 83x59.5  détail oeuvre  détail signature dans la planche  Belle épreuve de Paul Klee tirée semble-t-il à 1000 exemplaires en « Offset Lithograph » comme disent les anglosaxons et « Offset » comme disent les français et allemands. Nous avons déjà eu l’occasion de décrire la différence subtile entre lithographie et offset.Cependant l’offset donne un rendu de très bonne qualité.

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Philippe Burnot graveur (1877 – 1956)

Posté par pearoid le 2 avril 2016

dessin n° 60 signé et daté 1949 intitulé chemin à St Christophe dessin N° 60 signé et daté de 1949, intitulé: Chemin à Saint Christophe   gravure Brousailles signée et annotée 1er état Gravure signée et annotée « 1er état » intitulée au dos « Broussailles »   affiche expo affiche d’expo. Ci après biographie de ce graveur réputé.

Philippe Burnot, né à Lantignié,au Chateau de Thulon, en Beaujolais, le 15 mars 1877 et mort à Lyon le 14 août 1956, est un graveur français. Il est le fondateur du « Bois gravé lyonnais », association qui a permis, dans les années 1930, la rénovation de la gravure à Lyon.

Le père de Philippe Burnot, Joseph Louis Burnot, est né à Sail -les- Bains, dans la Loire, aux « Martins » propriété de son père Jacques Philippe. Il fait son droit à Paris et devient un temps clerc de notaire à Roanne. Il épouse en 1876 Joséphine Badet qui vit au château de Thulon à Lantignié. C’est là qu’ habite le jeune ménage et que naît leur fils aîné Philippe Charles Burnot le 15 mars 1877. Il achète une fabrique de papier près de Beaujeu sur la commune des Ardillats. Ici naissent la sœur de Philippe, Marie Clémence, et son frère Hippolyte Lucien. C’est dans le jardin de la papeterie que la mère de Philippe trouve accidentellement la mort devant ses deux plus jeunes enfants en se faisant prendre sa longue robe par l’arbre de transmission de la turbine de l’usine, Philippe étant alors au collège à Villefranche depuis trois ans.

Après la mort de sa mère, enfant et adolescent, il aime se rendre en famille aux « Martins »- pendant les vacances, en omnibus à deux chevaux, des Ardillats à Sail. Avec sa sœur Marie Clémence, il fait beaucoup de promenades à pied connaissant tous les jolis coins de Sail et des environs, faisant avec elle des dessins et des croquis, leur principale distraction avec le jardinage et les bains à la petite piscine de l’établissement thermal.
Après ses études secondaires au collège des Jésuites de Mongré à Villefranche, il fait toute la Grande Guerre dans le génie comme brigadier-fourrier (Pont à Mousson, la Marne, le Nord)
Il devient en 1900 dessinateur de soieries et dentelles.
Il se marie à Beaujeu le 11 août en 1908 avec Marguerite Navaizard dont il eut 4 enfants et habite alors Lyon et le Beaujolais en été.
15 mai 1909 : naissance de son fils Joseph
15 septembre 1910 : naissance de sa fille Marthe
4 novembre 1912 : naissance de sa fille Jeanne
8 juin 1918 : naissance de sa fille Marie Louise

En 1919, il rencontre l’illustrateur, peintre et graveur Georges Bruyer (1883- 1962) qui l’initie à la gravure sur bois. En 1920 exposition au Salon d’Automne à Paris. Il devient membre actif de la Société des Artistes Décorateurs. En 1922, il commence une carrière d’illustrateur.

En 1929, il fonde l’Association  » Le  Bois gravé Lyonnais  » dans le but de faire connaître la gravure sur bois originale dans la région. Le nombre de ses adhérents est fixé à cent. Le président est Albert Pauphilet (1884-1948) alors professeur à l’Université de Lyon. Albert Pauphilet contribue activement à l’impulsion de ce mouvement. Mathieu Varille lui succède à son départ en Sorbonne.
Le médiéviste Albert Pauphilet est un ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure, professeur à la faculté de lettres de Lyon puis à la Sorbonne. Il est nommé ensuite directeur de cette même École Normale Supérieure jusqu’à sa mort en1948. C’est par lui que Philippe Burnot entre en contact avec Paul Valéry dont il ornementera les « Dialogues » aux Editions du Pigeonnier de Charles Forot (1890-1973) poète ardéchois de Saint Félicien-en-Vivarais, fondateur du « théâtre du Pigeonnier », ami du graveur Jean Chièze, du sculpteur Marcel Gimond, du peintre Pierre Boncompain.

De 1929 à 1941 l’Association organise 10 expositions de gravures dans les salles de la Bibliothèque de Lyon ; on y expose des œuvres de graveurs lyonnais, régionaux, et étrangers (Belgique, Pologne, Angleterre, Russie, Espagne, Italie…)
Il devient alors l’ami de Claudius Linnossier (1893-1953). Le célèbre dinandier de la Croix- Rousse, ancien élève du Maître parisien Jean Dunand, fait partie du groupe « Les Artisans Français Contemporains »qui expose à la galerie Rouard.

En 1945, il entre à la commission du Musée des Beaux-Arts, chargé de sélectionner les œuvres entrant au musée.

10 septembre 1948 : Après quarante années de mariage, décès de son épouse Marguerite Burnot des suites d’une intervention en clinique à Lyon. Il séjourne alors de plus en plus en Provence où habite maintenant une de ces filles mariées  depuis quelques mois  à Jacques Latour, archéologue et conservateur des musées d’Arles, fils du peintre et graveur Alfred Latour (voir le site de la Fondation Alfred Latour à Fribourg).

En 1950 : première exposition personnelle à la galerie des Jacobins à Lyon avec le dessinateur, graveur et peintre parisien Christian Jacques Boullaire (1893 – 1976), beau-frère de Louis Renault, époux de sa sœur Christine Boullaire, dont il s’occupe de la publicité, activité qu’il abandonne vite. Christian Jacques Boullaire commence la gravure sur bois en 1926.

1955 : deuxième exposition personnelle mais avec des œuvres abstraites.
Par la suite, il se consacre uniquement à l’abstraction, utilisant la technique des monotypes et la technique dite des « papiers collés ». Après Matisse, ses préférences vont à Klee et Kandinsky.  

Le 14 août 1956, il décède subitement à Beaujeu chez lui aux  « Malfaudières», dans la nuit. Ses funérailles ont lieu le 18 août dans le caveau de la famille, la petite chapelle du château.

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