Posté par pearoid le 21 mai 2019
Il semble que personne ne connaisse ni la bio ni les dates de vie de cette graveur que l’on retrouve dans le périodique « La France Illustrée » du XIX° siècle dont nous avons déjà parlé dans ce blog (voir lien) .
On trouve beaucoup de gravure de cette artiste sur internet mais pas de renseignements sur cette Jane Mirman que certains dénomment Melle Jane Mirman.
Cependant en fouillant un peu, on retrouve une trace d’une certaine Melle Marguerite-Jane Mirman dans le « Journal des débats Politiques et Littéraires » du 02 Août 1911 qui parle, en substance, d’un accident d’une Melle Jane-Marguerite Mirman sœur de M. Mirman (Léon Mirman), directeur de l’assistance et de l’hygiène au ministère de l’intérieur qui aurait été renversé par un fiacre. Elle aurait perdu à cette occasion un porte monnaie avec beaucoup d’argent dedans…… Si jamais vous l’avez retrouvé, vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Voilà pour les faits divers…Est-ce la même personne ? Recherches en cours.
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Posté par pearoid le 19 mai 2019
Toujours le suite de nos graveurs sur la France illustrée de 1899. Ici Léon Louis Fleuret dont pas même la BNF n’a les dates de naissance et décès. Excellente gravure du Fumeur de Jean-Louis Ernest Meissonier .
et voici la peinture originale
.
autres planches sur la France illustrée.
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Posté par pearoid le 14 mai 2019
Nous continuons notre tour des graveurs parus dans La France Illustrée de 1899. Il s’agit du « voeu à la madone » de Jean-Victor Schnetz et intitulé « l’enfant malade » dans la parution du 13 mai 1899. Le graveur de la planche est illisible. 
ci-après le tableau original 
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Posté par pearoid le 26 avril 2019
Belle série de planches de Charles Baude, excellent graveur sur bois, que l’on retrouve dans La France Illustrée de 1899 éditée par l’imprimerie des orphelins-apprentis.
Préoccupé par le sort des orphelins à Paris, l’abbé Roussel fonde le 19 mars 1866 L’Œuvre de la Première Communion avec ses six premiers enfants des rues.
Grâce à l’aide financière de monseigneur Darboy, archevêque de Paris, il a pu louer une maison abandonnée au 40 rue Jean de la Fontaine, dans le quartier d’Auteuil à Paris. Il souhaite que chaque enfant soit accueilli, soigné, apprenne à lire et à écrire et se prépare à sa première communion. Mais il faut ensuite leur apprendre un métier et leur trouver un maître d’apprentissage.
En 1871, après la guerre et la Commune, la situation économique est difficile. A Paris, il devient difficile de placer les jeunes d’Auteuil à l’extérieur. Dès juillet, Louis Roussel décide d’ouvrir ses propres ateliers et Les Orphelins Apprentis d’Auteuil viennent s’ajouter à L’Œuvre de la Première Communion. Ils s’illustreront particulièrement dans le métier de l’imprimerie avec un journal hebdomadaire, La France illustrée.

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