Posté par pearoid le 4 janvier 2021
Jacques Josse « Au bout de la route » – Illustré par J.M. Scanreigh - Editions « Le Réalgar » en 2015, 35 pages au format 19×13 - Les vingt premiers exemplaires sont accompagnés d’un bois gravé imprimé, numéroté et signé par l’artiste. - En Novembre 2020, l’artiste nous a fait une belle dédicace.
Notes de lecture Alexandre Ponsart / Une couverture foncée accompagnée d’une gravure de Scanreigh donnent les prémices de ce qui suit. Dix gravures, telles des pierres tombales, accompagnent le texte poétique de Jacques Josse qui perpétue son écriture autour de la mort. Cette dernière est présente tout le long de l’ouvrage et se manifeste au bout de la route, dans un virage sinueux et se retrouve partout comme en Afrique, en pays Dogon, en France sur la promenade des Anglais à Nice.
35 pages de prédestination vers une mort qui débutent par une phrase d’Anatole Le Braz »Lorsque les chiens hurlent dans la nuit, c’est que la mort s’approche de la maison ».Illustrées, comme dit Ponsart, par dix matrices bois de gravures (à l’image de celle de couverture) de Scanreigh… Effectivement on est pas loin de stèles idolatrant la mort….Brrrrrrr ! Magnifique texte de Jacques Josse ! et au final magnifique petit bouquin qui se regarde et se lit avec gourmandise.
La question de curiosité est de savoir si ces matrices ont donné lieu à des tirages ? Que la Force soit avec nous, Amen !
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L’artiste dans son commentaire nous indique que les matrices ont été montées sur tasseaux et exposées à la Chapelle du Carmel à Chalon Sur Saône, certainement d’ailleurs lors de l’expo « Légendaires »
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Posté par pearoid le 24 novembre 2020
2017 – Armand Dupuy « L’avaleur avalé » -Edition Le Réalgar. Format 13×19 – 95 pages. Les 30 premiers exemplaires sont accompagnés d’un squiggle au format du livre.
Le 11 XI 2020 l’artiste nous a aimablement dédicacé l’ouvrage.
Les pensées d’Armand Dupuy (En Bermuda et en Basket…donc en vacances!) sur sa rencontre lors d’une exposition de Tondos où Scanreigh présentait les siens.
Et plus loin les « squiggles » qui illustrent le livre. 17 squiggles qui ne sont autres que les planchettes distribuées aux élèves des Beaux Arts et sur lesquelles s’inscrivent leurs graphes et autres calembours.
Et Scanreigh de les peindre, encore une histoire de recyclage, l’artiste n’en est pas à son premier coup.
Armand Dupuy se remémore ses années « collège » et comme pour singer ce grimaçant des choses exprimant le travail de Scanreigh, sèche les cours et écrit, en substance…« c’est ainsi que s’ouvrirent à nous les années grimacières. Nous quittions l’enfance mais nous n’allions nulle part. » Et puis c’est la connaissance dans les catalogues de timbres du grand-père et puis c’est la lecture de Winnicott, un souvenir qui le ramène aux squiggles de scanreigh parce que c’est Winnicott qui inventa le Squiggle Game, gribouillis ou dessin libre.
Nous avons déjà présenté cet opus avec son affiche de lancement ainsi d’ailleurs que la matrice bois. Bref un bel ensemble qui nous enchante…Il y a longtemps que nous avons quitté des bancs de l’école et cet ouvrage n’est pas sans nous rappeler nos bêtises d’antan ! Nous aussi on a eu droit au catalogue de timbres avec pince et loupe. Je n’ai jamais trouvé le timbre anglais sur Winnicott contrairement à Armand Dupuy dans les timbres de grandpapy.
Et puis voir du Scanreigh, c’est le croire sans même tout à fait tout comprendre. Je suis comme Saint Thomas je crois ce que je vois!
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Posté par pearoid le 11 septembre 2020
Affiche 82×46 et matrices [(35x35)x2] réalisées à l’occasion de la sortie de l’Avaleur Avalé d’Armand Dupuy.
Récit quasi-autobiographie pour l’artiste et pour lui-même illustré par les « Squiggles » de Jean-Marc Scanreigh aux éditions Le Réalgar.
Scanreigh réalise à cette occasion l’affiche du lancement en deux bois gravés de 35×35.
Tirage sur papier très fin, nombre d’exemplaires 10 numérotés en chiffres romains.
Magnifique ensemble pour collectionneur averti mais qui a dit qu’un homme averti en valait deux (sûrement ma grand-mère, encore !) ce qui tendrait à prouver qu’un collectionneur averti en vaux deux! Non mais, et puis quoi encore ! L’artiste nous a donné non seulement l’affiche mais les deux matrices en bois….Une pépite. Oh, je sais, d’aucun diront qu’ils ont plus, qu’ils ont mieux…Grand bien leur fasse ! Nous, on a ça et cela nous procure bien de la joie. (Y’a d’la joie…Bonjour, bonjour les hirondelles…Y’a d’la joie...)
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Posté par pearoid le 4 juin 2020
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