Posté par pearoid le 9 novembre 2020
1999 Affiche « Scanreigh. Les marie-louise étaient légèrement tachées janv 99. Librairie Mouvements.Paris VI° »
Bois gravé en deux couleurs imprimé par l’artiste - Format 57×39 sur 70×50. Tirage approximatif 30 exemplaires.
Référencement B.M.L. ‘EA signé) Chomarat Est.15046 et Référencement « Livres à l’envi » A55 page 124.
Matrice en « bois perdu ». Matrice finale (le premier passage en bleu – élimination de bois dans la gravure reste ce qui est imprimé en rouge )
Comme toujours superbe affiche tant par le dessin que par le texte…. Les marie-louise étaient légèrement tachées – Qui oserait un titre pareil…. Scanreigh l’a fait!
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Posté par pearoid le 9 novembre 2020
Toujours dans la répétitivité du geste, ces instants du 29 mai 1991 pour PéA toujours aussi mondialement inconnu. Instants tous signés et datés de l’époque.
voir la suite des instants - Voir tous les PéA
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Posté par pearoid le 7 novembre 2020
Aqued 2020 – « Downhill parcmètre » . Papier vergé noir – Format 35×27 - Papier soie froissé, plié.
Un Aqued (il faut prononcer Act’d) plus énigmatique style polar américain avec cette descente dans le parcmètre…Bref toute une histoire…! Belle réalisation !
La photographie de ce type d’oeuvre est particulièrement difficile; l’image 2 ne rend pas compte correctement du rendu puisque posée à plat sur un support qui obscurcit considérablement les effets du pliage (la photo 1 est prise avec un rétro éclairage fort pour mieux les distinguer).
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Posté par pearoid le 6 novembre 2020
En 1980 paraissait le numéro 1 de la revue « Avant-Guerre sur l’art, etc. » d’environ 80 pages qui fût suivi du numéro 2 en 1981 (une centaine de pages). Puis plus rien jusqu’à la nouvelle mouture « Avant-Guerre – Une revue d’ART » N°1 en 1985 qui s’arrêta aussi vite qu’elle parût. Si on n’en croît le blog -Scanreigh-Biver- trois numéros « collectors » tant la diffusion fût très confidentielle.
Si les deux premiers numéros de haute volée et finalement très élitiste (au moins BAC + 25 pour arriver à tout cerner) la nouvelle mouture fait « la part belle » à plus de visuels et notamment 4 pages sur Philippe Favier avec des reproductions à l’échelle 1 de quelques gravures.
Bref une tentative trop intellectuelle pour le quidam normal avec pourtant la mise en avant d’artistes tout à fait intéressants. Mais malheureusement tout le monde n’a pas Bac + 25 pour décrypter ou simplement assimiler les textes. OK j’exagère un peu mais pas que !
Curieusement je suis un curieux décalé de nature ce qui me fait revenir souvent sur tous ces textes et…inévitablement reposer la revue, las de tant de mots, phrases, concepts incompréhensibles pour un homme normalement constitué. Bon faut que j’reprenne l’article sur Mumû (autour de cinq annonciations de Marden) de Jean-Claude Lebensztejn qui dit en substance…et là , je cale ! ; « …. Une combinatoire élémentaire produit dans l’ordre les séquences suivantes (I)1122 ; (II)1212, (III)2112…soit deux permutations plates I et V ; deux croisées, II et IV ; et une embrassée, III qui sert d’axe de symétrie à l’ensemble lui-même embrassé, mais vectorialisé …etc ». Moi j’savais pas que la peinture c’était tout ça !
…

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Posté par pearoid le 4 novembre 2020
En 1997, la ville de Cambrai proposait sa première exposition d’Estampes avec l’ambition de réitérer son évènement chaque année avec notamment l’invitation faite à un éditeur d’art. Pour la première année la ville mettait en avant l’atelier Lacourière Frélaut installé à Montmartre. Atelier de l’excellence en taille douce ayant travaillé avec les plus grands artistes comme Picasso, Braque, Matisse, Rouault, Miro… ainsi que les grands éditeurs comme Skira, Vollard (on lui doit notamment la fameuse « suite Vollard »), Iliazd, Maeght, Gérald Cramer…
Edition à cette occasion d’un fascicule d’une cinquantaine de pages au format 27×19 bien documenté et illustré. Très beaux articles sur l’atelier d’art Lacourière Frélaut, les estampes grands formats ainsi que sur les estampes Picasso créées chez ce même atelier. Au final une cinquantaine d’estampes de Picasso exposées au Musée ainsi que les grands formats de Ray Arnold, Olivier Debré, Martin Muller-Reinhart, Zao Wou-Ki, et Scanreigh.
Une mine d’or pour ceux qui s’intéressent à l’estampe où l’on apprend d’ailleurs que c’est Roger Lacourière qui eut l’idée d’utiliser un seul bois pour toutes les couleurs que certainement Picasso reprit à son compte pour créer plus vite.
voir l’affiche d’Emmanuel Pierre
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Posté par pearoid le 3 novembre 2020
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Posté par pearoid le 3 novembre 2020
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Posté par pearoid le 3 novembre 2020
On continue de dérouler la série des « Instants » de Péa qui rappelons le reste toujours mondialement inconnu. Cette série fait dans l’instant de l’humeur et de la répétitivité du geste a été réalisée sur quelques mois en 1991.
voir la suite des Instants – Voir tous les PéA
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Posté par pearoid le 1 novembre 2020
Ce numéro 7 de Penrod est le plus “zine” — fanzine, graphzine — de la série. C’est Reno Leplat, jeune nîmois des éditions Nunu qui, à ma demande, à concocté son “look” (les anglicismes sont welcome) et il n’y est pas allé avec le dos de la parodie. Il faut dire aussi que le texte de Jacques Norigeon, Pipeule, incite au défoulement.
J’ai rencontré Jacques Norigeon en 2005 chez Lacourière Frélaut **. Nous avons échangé nos publications respectives. J’ai reçu de sa part deux petits livres pleins de finesse et de charme avec des dessins de Henri Cueco.
Lors de mes rangements pré-déménagement, je tombe sur des dessins de 1992, à l’encre de Chine sur papier ancien. C’était, je crois, une réserve d’idées pour des eaux-fortes que je me proposais d’imprimer sur les presses de l’École des Beaux-Arts, de Besançon à l’époque, quand les étudiants s’évaporaient (ça arrive, si, si) ou bien certains jours d’hiver, quand il m’arrivait de rester jusqu’à la fermeture tardive de l’école en compagnie de Pierre Voisin, le typographe, dont la flamme pour ses presses historiques savait susciter des vocations typo.
Ces dessins, tous de même format, semblaient remplis d’une narration contenue et énigmatique comme en attente d’une destination. Parfaits pour un Penrod. La réserve d’idées qu’ils représentaient est bien entendu à mille lieues de ce que Jacques Norigeon y a décrypté et que Reno Leplat a graphiquement fait mousser. Cela ma ravit.
« Pipeule » de Jacques Norigeon avec 41 dessins de Scanreigh. Impression infographique sur couché 135 g. Couverture 300 g. Format : 21 x 29,7 cm à l’italienne, 26 pages recto, reliure à la chinoise. Edition originale tirée à 60 exemplaires numérotés. Maquette Reno Laplat, Editions Nunu – Les 20 premiers exemplaires sont accompagnés d’un dessin original signé et daté sur Arches.
On apprend plein de trucs dans ce Penrod comme quoi il faut lire Penrod. Par exemple on sait maintenant pourquoi Rodolphe Auguste Serge Marcel Ulysse Satisfecit sombra dans le neutralisme en devenant amuseur public à Lausanne par contre on a pas réussi à traduire le texte ci-après ; « Le fam’ orthoph’ av’ dem’ les alleg’ des quat’ caval’ de l’apocope » mais c’est pas bien grave…On a appris tellement de trucs ! Saviez-vous (un autre exemple) qui a créé l’académie du placard « pour n’oublier personne » ?
Un Penrod essentiel où Norigeon et Scanreigh rivalisent d’audace le tout sublimé par Reno Leplat !
Voir les autres Penrod - Voir tous les Jean-Marc Scanreigh
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Posté par pearoid le 1 novembre 2020
Aqued nous réserve quelques surprises avec ses expérimentations – série des visages-pliages papiers de soie, monotypes sur papier de soie froissé et maintenant un travail sur toile à torchon en lin… on en saura bien plus quand la série sera terminée. Ici la toile encore non signée mais déjà prête au pliage…. Je doute qu’on s’en serve en torchon. On attend avec impatience la suite des torchons. Titre provisoire « Torchon d’artiste I » – Finalement « Révolte et confiture ».
voir les suites Aqued
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