Posté par pearoid le 27 mai 2020
La Galerie Slika à Lyon réalise toujours de très belles affiches Ici celle en 2019 de l’exposition « Flat Earth Trap » d’Ekta, Stephen Smith et Jeroen Erosie. On essaiera de vous présenter d’autres réalisation de la Galerie.
« … L’exposition « Flat Earth Trap » a beau avoir été imaginée à distance les uns des autres, élaborée à force de discussions, d’échanges et de visions communes, elle est une preuve que la peinture contemporaine peut être ce curieux espace où le spectateur et le créateur partagent le temps d’un instant, le besoin de s’égarer au sein de ses propres repères. Soucieuse de donner entière liberté à ces artistes qui se détournent des carcans traditionnels, la galerie Slika se fait l’honneur d’accueillir trois artistes qui redonnent à la peinture contemporaine et abstraite, de prometteuses lettres de noblesse. » Source Galerie Slika
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Posté par pearoid le 27 mai 2020
Belle affiche « les Amants III » de rené Magritte. Editeur, date et tirage inconnu.
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Posté par pearoid le 26 mai 2020
En 2001 Jean-Marc Scanreigh expose ses brouillons un peu arrangés…et peints autour. Vraisemblablement aux crayons de couleur si on en juge par la plaquette de la Galerie.
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Posté par pearoid le 24 mai 2020
Comment dire….. on a déjà remercié cet artiste pour sa générosité et sa gentillesse. Cette étude avec ce petit mot au dos nous touche beaucoup et nous permet de redire combien nous aimons son travail.
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Posté par pearoid le 24 mai 2020
Une étude de PéA qui a d’ailleurs été censurée par Facebook ….. Un tas d’incultes qui ont pris ça pour une image porno ! Ce n’était pas la première fois puisque la présentation d’une photo (l’Atelier) avait déjà été censurée….Bandes d’idiots!.
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Posté par pearoid le 24 mai 2020
En 1932 Francis Picabia sort son ordonnance n°555 avec entête Docteur Picabia, Port de Cannes. En 2004 les Musées de la ville de Paris associés à JnF Productions ainsi qu’à l’Adagp éditent un bloc de 40 feuillets vierges au format 26.7 x 20.9 et à l’entête du docteur Picabia. Il semble que l’ensemble soit « out of print » d’autant que la maison JnF Productions semble également ne plus exister. Le bloc feuillet avec une autre édition sur Picabia ont fait l’objet d’une vente aux enchères sur Christie’s, ce qui confère certainement une relative rareté à ce bloc. Il est d’ailleurs introuvable dans le cadre d’une recherche internet.
Ci-après le bloc complet de 40 feuillets, la première de couverture étant la reproduction de l’ordonnance générale 555.

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Posté par pearoid le 23 mai 2020
toujours aussi mondialement inconnu, ce PéA de passage au Mucem.
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Posté par pearoid le 22 mai 2020
Nous avons déjà présenté Kabian dans ce blog, virtuose du stylo bille. Cet artiste que nous aimons tant il nous manifeste une attention particulière avec cette oeuvre en cadeau. Comme la dernière fois cette oeuvre prend un caractère particulier du fait de la générosité de l’artiste. Merci donc Jean-Baptiste Kabian de la part d’un collectionneur comme vous le dites passionné mais malheureusement peu argenté.
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Posté par pearoid le 22 mai 2020
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Posté par pearoid le 21 mai 2020
Dans la suite de la série « personnages variation » de Kabian. les autres parlent de lui;
« KabiaN est né dans une famille d’artistes, peintres depuis trois générations. Autodidacte, il peint pour exister, pour se sentir aimé, dit-il.
De nature généreuse, KabiaN offre dans ses peintures la totalité de son être. Enhardi par goût de l’aventure, il explore les sentes de la création, plus rarement ses boulevards. Ses thèmes récurrents abordent des personnages variation. Il aime aussi travailler sur le regard, l’ouïe et l’odorat. Sur le non perceptible et le peu quantifiable. Aborder des thèmes comme l’imperfection humaine et la métaphysique, sont des exercices qui l’enchantent.
Ses dessins ont pris une proportion suffisante, comme un signal qui lui chatouillerait les idées. Il aime aussi écrire – surtout des mots d’amour -, mais c’est souvent au détriment de sa peinture. L’écriture vole son inspiration à l’étalage du temps. Pour cette raison, il peint et dessine beaucoup, mais écrit peu.
Il y a ceux qui aiment son travail, dans le respect et la douceur. Aussi sensibles qu’il peut l’être, ils vibrent au premier regard et cela les contente car ils ont deviné l’intime. Pour ceux qui interprètent d’une façon personnelle son identité artistique, il ressent aujourd’hui le besoin de semer de jolis cailloux colorés, pour jeter entre eux et lui un petit pont de mots. Il a besoin de leur faire comprendre le soleil qui l’anime, d’où vient son inspiration, ce qui fait son identité. »
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