Terrasse de café – Impression tirage limité

  tirage 176/200 contresigné. Signature à déchiffrer – recherches en cours

voir lien pour résultats des recherches.

PHEDRE – Gravure

 Belle gravure éditée par H. Launette – Paris. Photogravure Goupil et Cie. Inscription à gauche de la gravure: Les artistes modernes. Gravure tirée d’une peinture de Cabanel .

 

Photo panoramique Nice La Promenade des Anglais et le bateau de croisière LE GALLUS

    Panoramique vintage. (23 x 44)

Pierre Miciol (1833 – 1905) Graveur et Peintre

Une gravure de Pierre Miciol « La vierge et l’enfant Jésus adorés par les Anges » imprimée par Fugère à Lyon. Une édition de la Société des Amis des Arts de Lyon.

Il y a cependant une confusion entre la Vierge et l’enfant de Hans Hemling  et celle de Quentin Metsys (Quinten Massys) peintre flamand (1466-1530) actuellement au Musée des Beaux Arts de Lyon    A noter également que le tirage comporte une erreur puisqu’attribue cette vierge à Hemling comme indiqué en bas à gauche: H emling, Pinxit.

Voilà pour les rectifications outre le fait que le tirage est raté la teinte couleur est décalée (couleur absente sur toute la hauteur gauche)    

Celle de Hans Hemling est appelée « La Vierge debout avec l’Enfant, entourée d’Anges (1500-1509) Huile sur Bois (47 x 33) et détenue par l’Institut Courtauld à Londres, celle de Metsys est également appelée Vierge à l’enfant entourée d’anges (1530) huile sur toile (54.5 x 37.5) partie centrale et détenue par le Musée des Beaux Arts à Lyon.

Chromo Photo Panoramique – LEVY et NEURDEIN Réunis / Compagnie des Arts Photomécaniques – CAP

Historique des éditeurs;

Chromo Photo Panoramique (Photochromie panoramique)

Éditeurs-photographes et imprimeurs.

Ayant racheté en 1864 l’important fonds de la maison FERRIER et SOULIER, spécialiste de vues stéréoscopiques sur verre, Isaac dit Georges LEVY (1833-1913) et son beau-père, Moyse Léon (1812- ?), développent un catalogue généraliste, où l’on trouve déjà des vues d’Egypte, de Syrie et et de Constantinople. Les associés obtiennent la concession des vues stéréos pour l’Exposition Universelle de 1867 et, à l’occasion de l’inauguration du canal de Suez en 1869, commanditent les 300 vues du « Voyage sur le Nil » du photographe Auguste-Rosalie BISSON. En 1889, une campagne photographique en Espagne se poursuit au Maroc. Le catalogue de la maison est alors riche de 30 000 photographies et comprend des vues d’Europe, d’Asie, d’Afrique et d’Amérique. Du point de vue esthétique, le tournant est notable : à la douce poésie du Second Empire a succédé une approche plus frontale et résolument commerciale, en rapport avec la politique coloniale mise en œuvre après 1870.

Avec les fils LEVY, Abraham Lucien et Gaspard Ernest, la société va se reconvertir résolument vers le marché de la carte postale : la marque « L.L. » est déposée en 1901 – on va souvent la confondre avec la signature « L&L » du studio Lehnert* & Landrock qui se crée trois ans plus tard à Tunis : Il est vrai que Lévy édite de nombreux clichés du photographe Chatelain, lequel utilise les mêmes recettes, et les mêmes modèles que Lehnert. Mais Lévy est devenu le second plus important éditeur de cartes postales en France, après les frères Neurdein : déposée en 1885 la marque ND allait vite exploiter un fonds de 40 à 50 000 clichés. Au niveau des héritiers, les groupes fusionnent après 1913 : la société « Lévy et fils » est rachetée par l’imprimeur Emile Crété, le repreneur de Neurdein, et la société « Lévy & Neurdein réunis » devient en 1932 la Compagnie des Arts Photomécaniques (CAP).

Source iconographie la plus importante pour le Maghreb, le fonds Lévy et Neurdein est considéré par certains comme l’archétype colonialiste d’une imagerie d’inventaire diffusée depuis Paris, et le vecteur principal d’une esthétique dégradante pour la femme orientale. L’étude précise des origines de ce fonds devrait pourtant inciter à plus de prudence. Vers 1970, le fonds a été racheté par l’agence Roger-Viollet qui, jusqu’à aujourd’hui, l’exploite intensivement tant pour des ouvrages nostalgiques que pour l’illustration d’essais historiques.

Michel Mégnin

Au départ il y a les deux éditeurs : Les frères NEURDEIN Avenue de Breteuil à Paris et Léon LEVY qui deviendra LEVY et Fils.                                                                                                                                                                                                                                   Ces deux éditeurs réalisent de multiples clichés. Pour chaque cliché apparaît le sigle ND ou ND photo pour NEURDEIN et LL pour LEVY.                L’éditeur NEURDEIN a eu pour successeur l’imprimeur Emile CRETE. Celui-ci apparaît au recto de certaines cartes portant le logo ND. Ce même CRETE aurait racheté la maison LEVY et Fils, ce qui deviendra la maison LEVY et NEURDEIN Réunis. Edition situé 44 rue Letellier à Paris 15. Les cartes avec photo de NEURDEIN portent toujours le logo ND et celles de LEVY et Fils portent le logo LL, maiqs au dos apparaît l’éditeur LEVY ey NEURDEIN Réunis.                                                                                                                                                                                                                                                                    En 1932 la société LEVY et NEURDEIN Réunis disparaît et laisse place à la société CAP (Compagnie des Arts Photomécaniques) située 44 rue Letellier Paris 15. Cette société déménage à Strasbourg puis prend le nom de Compagnie Alsacienne des Arts Photomécaniques. CAP réalise à nouveau de multiples clichés mais utilise également des anciens clichés LL.  IL semble que la maison CAP disparaisse dans les années 1970.

Aquarelle signée Jeannie JEAN

aquarelle sur Canson format 41×31 signée Jeannie Jean. Recherches en cours

Aquarelle

  Belle aquarelle paysage sur papier (12.5 x 17.5) malheureusement non signée et non  datée..

Nicolas Fonville – Graveur

 Lith. de H. Brunet et Cie à Lyon, Gravure de N. Fonville en 1830 – Vue du premier pont Morand en 1830 (Prise des Brotteaux) -

Note publique d’information :

Graveur lyonnais. Elève de Victor Vibert à l’école des beaux-arts de Lyon. Associé à son gendre Victor Nicolas Fonville sous la raison « Brunet et Fils et Fonville ». En 1852, le fils, Jacques Charles Brunet continue l’exploitation. A signé beaucoup de gravures : « Brunet et Cie » ou « Brunet fils et Fonville »

 Lith. de H. Brunet et Cie à Lyon. Gravure de N Fonville en 1831 – Vue de la Place des Célestins en 1831

Galerie Georges Petit – Catalogue vente du 03 Décembre 1904 (Héliogravures procédé Georges Petit)

Succession de Mme Ridgway. dont 4 remarquables peintures de Fr. Boucher et, comme il est dit: « de l’ancienne collection de la Marquise de Pompadour », vente de la Galerie Georges Petit en 1904.

    Robert Hubert

 

Hôtel Drouot – Catalogue des ventes du Mercredi 7 Juin 1911 – 19 Héliogravures (Procédé Bernheim Jeune)

Joseph Bail (les dévideuses)   Rosa Bonheur (Le cheval blanc) Honoré Daumier (La soupe)    Paul Delaroche (Charlemagne traversant les Alpes)    Henri Fantin-Latour (Aprés le bain)    Ferdinand Heilbuth (La grenouillère)      Eugène Isabey (Le cabestan)      Albert Lebourg (La rivière et Vue de Rouen)          Mihali Munkacsy (La grève)    Camille Pissarro (L’inondation et Le Pont-Neuf)   Auguste Renoir (Provende de poules)   Alfred Sisley (Tournant du Loing)    Alfred Stevens (Le tableau et La lettre)   Octave Tassaert (Sarah la baigneuse)       Frits Thaulow (Effet de neige)    Jean-François Millet (Pastorale)

L’ensemble de ces gravures sont dites « procédé Bernheim jeune » et vraisemblablement imprimées en héliogravure.