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Edition Artistique des laboratoires Le Brun

Posté par pearoid le 30 septembre 2017

_DSC6796 _DSC6797  Nicolas Lancret (1690 -1743) « Etudes pour le Personnage Féminin d’une Fête Galante » Dessin à la sanguine sur papier chamois (155×185)

_DSC6799 _DSC6800 François Boucher (1703 -1770) « Gentilhomme debout et de face, le corps légèrement incliné vers la droite, saluant » Sanguine sur chamois (225×155)

_DSC6801 _DSC6802 Antoine Watteau (1684 -1721) « La Dame à l’Eventail, la Dame au manchon » Sanguine (155×165)

_DSC6803 malheureusement les deux dessins sont manquants.

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Alain Bachelard – Photographe

Posté par pearoid le 29 septembre 2017

_DSC6788  _DSC6789  deux oeuvres signées Bachelard avec une indication au dos H2O2 Bachelard. Alain Bachelard, photographe a travaillé et exposé une série H2O2, je n’ai pas encore pu définir si c’était lui… Affaire à suivre.

J’ai pu avoir confirmation par Alain Bachelard, lui même, que ces deux tirages faisaient partie d’une série NetB intitulée « Traces Urbaines »; détails trouvés sur différents supports lors de ses déambulations notamment dans la ville de Lyon.

La première est de 2004, l’autre de 2007.

Il m’informe également que ce travail argentique NetB a été arrêté en 2007 au profit de la couleur et du numérique. Merci à lui pour l’ensemble de ces renseignements.

Vous pouvez également voir son travail sur son site Bachelard.pro. Je reprends ci-après sa profession de foi, si je puis dire:

Le photographe d’art Alain Bachelard

C’est en exerçant mon métier de programmeur en informatique à Lyon que j’ai rencontré mes premiers peintres et sculpteurs mais c’est par la lecture que j’ai découvert Turner, Monet, Cézanne, Bonnard, Zao Wou-Ki…etc…

En feuilletant un livre du photographe Lucien Clergue, j’ai compris que l’on pouvait voir le corps de la femme d’une façon totalement abstraite. Le Nu fut mon premier thème abordé en 1969 et poursuivi pendant plus de trente cinq ans.

En 1977, je découvre la pellicule Infra-Rouge Noir et Blanc qui répond à mes recherches de transpositions de la nature et commence un deuxième thème, les Arbres (voir « Au delà de Apparences »), durant près de trente ans.

Atteint d’une artérite fémorale qui me contraint à marcher tous les jours, je trouve un peu de poésie, dans mes déambulations en ville, en regardant taches, rayures, détails de tag…etc… sur divers supports, ce qui me donne l’idée de les fixer sur pellicules Noir et Blanc et créer ainsi mon troisième thème; les Traces Urbaines.

Enfin, las de passer des heures dans mon laboratoire (ma salle de bain) à faire des tirages photos pour envoyer des dossiers par La Poste, à 61 ans, je me lance dans l’aventure numérique ce qui me permettra enfin de travailler en couleurs sans me ruiner, en contrôlant toutes les étapes de la création de l’image et de créer des paysages improbables à partir (principalement) de rayures de carrosseries automobiles en stationnement, une suite logique et colorée des Traces Urbaines. (voir L’ Autre Rive).

Le trait d’union entre tous ces thèmes est le voyage utopique, compensation indispensable au manque de moyens financiers inhérent à ma vie d’artiste.

Pendant tout ce périple, je n’ai cessé de chercher les maillons manquants entre la photographie et la peinture, sœurs complémentaires de l’Art.

Quant à l’esthétisme voulu dans mon travail, il est le résultat du dépassement de la douleur, témoignage de modestie et instrument d’approche de la beauté universelle.

 

 

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Tirage 3/12 d’un fusain signé Roland ? (signature à déchiffrer)

Posté par pearoid le 29 septembre 2017

_DSC6790  _DSC6791  _DSC6791 2  Edition limitée numérotée 3/12. Signature à échiffrer – recherches en cours

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Jules Léon Flandrin ( 1871 – 1947)

Posté par pearoid le 29 septembre 2017

_DSC6793  _DSC6794  Beau tirage numéroté 178/325 d’une gravure sur bois signée Jules Flandrin sauf si signature apocryphe. ci-après un dessin reconnu avec sa signature sur internet _MG_3153  _MG_3155  Merci aux connaisseurs de me donner leur avis sur cette gravure.

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Marcelle Botton (1900 – 1978) – Artiste coté Akoun (voir également juillet 2016)

Posté par pearoid le 29 septembre 2017

Il y a un an j’étais tombé par hasard sur 3 dessins de Marcelle Botton. Surprise que de retrouver aujourd’hui deux nouveaux dessins d’elle, presque à l’abandon dont un déjà déchiré. Ouf sauvés des eaux…..

_DSC6792 1 signé mbotton 68 et intitulé (au dos) « aux environs de Grasse »  _DSC6795 daté de 69 et intitulé (au dos) « Borée », certainement le village ardéchois du même nom.

Voir autres tableaux sur ce blog

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Pierre Jean Chaffrey (1926 -1999)

Posté par pearoid le 29 septembre 2017

_DSC6787       Pierre jean Chaffrey fondateur de la Galerie de l’olympe à Lyon. Petite peinture sur carton toilé.

Historique

La galerie a été fondée en 1979 par Pierre-Jean Chaffrey. En 1985 il crée sa propre académie de peinture et transmet son immense savoir à André Disdier, Pascal Paradis et Norbert Vaginay. Suite à la disparition de Pierre-Jean Chaffrey en 1999, tous les trois reprennent la direction de la galerie et des cours de peinture afin de pérénniser à leur tour les valeurs chères à Pierre-Jean Chaffrey.

Pierre-Jean Chaffrey est né le 14 mars 1926, à Birmandreïs, dans ce qui s’appelait encore le département d’Alger.
Après ses études secondaires classiques, il suit les cours des Beaux-Arts à Alger, puis part deux ans aux Etats-Unis.
De retour en France en 1947, il s’installe à Nice, puis à Allauch, près de Marseille. C’est dans cette ville qu’ a lieu sa première exposition particulière. Très vite, ses oeuvres teintées de surréalisme sont appréciées de nombreux amateurs et critiques. Certaines oeuvres marquantes comme « le prisonnier », « la ville endormie », « la noyée » le hissent au premier plan de l’actualité artistique de l’époque

Parallèlement à sa peinture, Pierre-Jean Chaffrey exécute des cartons de tapisserie tissés en exclusivité par le maître-lissier Raymond Picaud à Aubusson.

Au fil des années, la peinture de Pierre-Jean Chaffrey va peu à peu se dépouiller de ses influences surréalistes et de ses sources littéraires, philosophiques ou métaphysiques. Mais c’est pour pénétrer plus profondément les secrets de la nature, l’essence même des choses.

En 1966, Pierre-Jean Chaffrey installe son atelier à Perpignan. Il y séjournera treize ans et y créera la première « Galerie de l’Olympe » tandis qu’à Paris, ses oeuvres seront exposées à la galerie « L’Obsidienne », avenue Matignon, et à la galerie « Bruno Martin Caille » rue du Faubourg Saint Honoré.

Dans sa quête de l’Absolu, dans cette recherche de l’Universel qu’il poursuivra toute sa vie, il aborde tous les thèmes : la mer, la femme, les fruits, les fleurs, les paysages du Roussillon, de Provence, de Bretagne.

En 1979, il s’installe à Lyon pour y créer l’Académie qui porte son nom.

Galerie de l’Olympe – 58, rue Auguste Comte – 69002 LYON – Tél. : 04 78 37 25 62

Voir suite chaffrey

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Libor Sir (1933 …) Dessin original

Posté par pearoid le 23 septembre 2017

_DSC6750

LIBOR SIR est un photographe né à Prague le 12 octobre 1933.  Pendant l’occupation allemande (1939-1945), son père l’initie  à la photographie. A cette époque, les photographes ont beaucoup de mal  à trouver du matériel pour l’exercice de leur art.  Se sera le cas également durant toute la période soviétique.  Aucun photographe ne prend une photo au hasard.  C’est dans ces conditions que Libor Sir apprend très jeune à travailler. Il quitte Prague en 1950, à l’âge de 17 ans, pour l’Allemagne.  Il obtient son baccalauréat au lycée ukrainien de Munich.  En 1953, il bénéficie d’une bourse d’étude américaine  pour le Collège de l’Europe libre de Strasbourg. Il y obtient un certificat  de langue française lui permettant de s’inscrire à la Faculté de Droit  de Strasbourg. En 1955, il obtient sa licence de à Paris, et devient  inspecteur du contentieux pour diverses compagnies d’assurances.  Il achète alors son premier appareil photo, un Rolleiflex puis,  au cours de nombreuses promenades, photographie Paris, ses quartiers,  ses rues et de nombreux monuments aujourd’hui disparus….  Dans les années 1960, grâce à la qualité de ses réalisations,  il intègre l’Agence Holmes-Lebel et devient journaliste.  Il effectue comme photographe indépendant, de nombreux reportages  pour le compte de plusieurs magazines, en particulier Le Pèlerin,  Clair Foyer, L’œil, La vie des bêtes, Jardin des arts… En 1970, il publie Les belles heures de Paris aux éditions Meddens  à Bruxelles et expose, à la galerie Gérard Mourgue, à Paris,  des études et projets de vitraux. Au cours des années suivantes,
il vend ses photos principalement à Paris. Il s’adonne à la peinture,  sa deuxième passion, en travaillant à l’Académie de la Grande Chaumière à Montparnasse. Durant l’été 1967, l’Agence Galliphot lui confia  la réalisation de photographies de Barbara pour illustrer  l’album Ma plus belle histoire d’amour.

Apparemment certains ne sont pas en accord avec cette biographie !! (?) Ci-après une autre de ses biographies

Sir L., Levon Aradian dans le civil, est né à Beyrouth en 1932, dans une famille arménienne. Son père, rescapé du génocide des Arméniens, s’était engagé en 1915 dans l’Armée française d’Orient. Sa mère était née à New York. Sir L. a fait ses études chez les Jésuites au lycée français de Beyrouth et c’est tout naturellement qu’il vient à Paris en 1951 pour y poursuivre ses études à la Sorbonne. Dans les années 50, il est actif dans les milieux littéraires et artistiques de Saint Germain des Prés, voyage à pied pour découvrir la France et l’Europe, fait toutes sortes de petits métiers, ramasseur de fraises dans les champs, laveur de vaisselle en Suède, déchargeur de camions aux Halles à Paris ou modèle aux Beaux Arts et fréquente les ateliers des maîtres Jean Lurçat, Fernand Léger, Ossip Zadkine, Chana Orloff, Germaine Richier et l’Académie Julian.
Poète, c’est à 40 ans qu’il voue sa vie au dessin, une vocation née dans son adolescence qui peut alors s’épanouir.
Il participe aux Salon d’Automne, Comparaisons, de Mai, Figuration critique, Montrouge et c’est au Salon de la Jeune Peinture, haut lieu de la nouvelle créativité qu’il suscite dans les années 70 les groupes d’artistes « La Peinture pour qui ? », « Imaginaires de peintres et imageries populaires », « Crises », « Classicismes et Réalismes ».
Puis dans les années 80, il est le codificateur et le rassembleur du mouvement NOUVEAU CLASSICISME, qui regroupe une cinquantaine de peintres figuratifs, à l’écart des modes et des courants officiels. Une esthétique qui défend, dans les expositions que Sir L. initie, « une peinture de sentiment populaire », car « l’art a d’abord pour fonction de représenter les mentalités et les émotions fondamentales, les visions du monde des groupes humains en un langage qui leur soit compréhensible.  » (SIR L. Modernité et modernisme, 1989).
Il est aussi, de 1990 à 1992, le rassembleur de l’exposition « Couleurs de la Vie », qui réunit 100 artistes internationaux pour les droits de l’Homme, à la mémoire des victimes des génocides du XXème siècle, à l’heure où le peuple arménien est à nouveau menacé. L’exposition présentée d’abord à Paris, à la Bibliothèque Nationale circule ensuite en Europe, à Madrid, entre autres, au Musée d’art moderne et à Prague à la Galerie Nationale, à l’invitation du Président Vaclav Havel.
L’œuvre de Sir L. célèbre la beauté du monde, des femmes, de la nature, car l’art est pour lui « l’antidote des horreurs de notre temps ».
Ses œuvres ont été exposées en France, à Paris et en régions, en Allemagne, Andorre, Arménie, Belgique, Corée du sud, Espagne, Grèce, Italie, Pays-Bas, Suède, Suisse, Tchécoslovaquie et ses tapis d’artiste en 2005 à l’Exposition Universelle de Aïchi au Japon

s-l300

IL semble que certains professionnels ou amateurs sur Internet fasse confusion (volontairement ou pas) entre LIBOR SIR et SIR L – Levon Aradian. Pour ma part les tableaux signés SIR sont de Libor Sir et non pas de Sir L.-Levon Aradian. Sur son site il n’a a vraiment pas de confusion à faire.

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Epreuve d’artiste signée B.M. 1999

Posté par pearoid le 23 septembre 2017

_DSC6756  _DSC6757  Gravure en épreuve d’artiste (E.A.) signée B.M. 1999. On en saura certainement jamais plus.

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Naïma Carbonare (1966 – ) – La petite spirale

Posté par pearoid le 23 septembre 2017

_DSC6752  _DSC6753  Petite sculpture de Naïma Carbonare installée dans la drôme provençale. Artsite bien référencée sur internet pas besoin de longue recherche.

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Signé « Dupré » – Photomontage – La cathédrale de Meaux

Posté par pearoid le 17 septembre 2017

_DSC6746 § intéressant travail photographique (tirage limité – 1/20) Intitulé « la cathédrale de Meaux – Nuit claire » et signé Dupré.

Recherche en cours

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