Jean Joseph Chabridon (voir également Avril 2011)
Posté par pearoid le 31 décembre 2015
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Posté par pearoid le 31 décembre 2015
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Posté par pearoid le 31 décembre 2015
Au dos 1978….On l’intitule provisoirement « le village »…. au dos Alice 1979…. au dos 2010…on l’intitule provisoirement « Paysage »…. Bref ce lot de Jacquemond est digne de rentrer dans notre collection … Allez savoir qui est-ce !
Comme toujours on recherche ce A. Jacquemond, histoire d’en savoir plus.
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Posté par pearoid le 31 décembre 2015
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Posté par pearoid le 31 décembre 2015
Une vraie recette de cuisine, on se croirait au théâtre, il manque plus que les décors de Roger Hart et les costumes de Donald Cardwell ! Comme j’aime ces tableaux qui complètent bien ma collection.
Je trouverai bien ce « j ch Garno, artiste peintre » comme il se définit himself!
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Posté par pearoid le 27 décembre 2015
signature peu lisible qui reste à confirmer pour ce bouquet qui complète notre collection. On recherche avidement cet artiste.
Voir l’excellent commentaire de notre correspondant. Il s’agit en fait de Marcel Joseph Mille.
« J’ai eu le plaisir de recevoir quelquefois sur leurs vieux jours l’auteur de ce tableautin et sa charmante épouse. Car il ne faut pas lire « Odile » mais « M.Mille ».
Marcel Mille, qui n’a rien à voir avec son homonyme jurassien né en 1938, dont les vaches sont le sujet (actuel) de prédilection, était né en 1901 à Lyon. Il fut longtemps encadreur à Villefranche sur Saône et fréquentait tout ce que Lyon et le Beaujolais ont pu compter d’artistes entre 1930 et 1960. Philippe Burnot entre autres, et ce petit tableau rappelle étrangement une gravure de Burnot où des fleurs comparables trempent dans un vase de même forme. Monsieur Mille devait apprécier son aîné car j’ai vu autrefois un dessin à la plume signé de la même écriture M.Mille, et reprenant le « cuvier » que Burnot avait dessiné pour servir de logo aux éditions du cuvier dirigées par Jean Guillermet. Marcel Mille avait initié à l’art son jeune fils (1935) qui, à l’age de onze ans, orna de dessins à la plume le millésime 1946 de l’ »Almanach du Beaujolais ». L’artiste en herbe ( encore de ce monde), y est dit « élève de son père et de Joannès Drevet ». Sans doute les greniers de Villefranche cachent encore des oeuvres- d’accord, disons des oeuvrettes – de l’homme délicieux que fut Marcel Joseph Mille, décèdé en février 1977. »
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Posté par pearoid le 27 décembre 2015
Vague interprétation du cordonnier de Louis Toffoli. On atteint là le summum de l’étrange avec ce cordonnier sans pieds, ses objets ou vêtements transparents…bref mais qui est ce LTP qui se prend pour un artiste de renom ? ON enquête. Même la signature est un clin d’oeil LTP…Louis Tiffoli rest à trouver le P.
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Posté par pearoid le 27 décembre 2015
Voilà bien une vue du dénommé J Rousseau qui ne manque pas d’intérêt…Manifestement on ne sait pas bien ce que l’artiste a voulu exprimer mais tout de même elle ne pouvait pas m’échapper et d’ailleurs le marchand me l’a carrément donné. Un Rousseau dans son salon, ça l’fait, quand même ! On est au moins sûr que ce n’est pas Jean Jacques, ni Théodore ni même le douanier !!
Voir également d’autres tableaux de cet artiste que nous possédons
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Posté par pearoid le 22 décembre 2015
Oeuvre de Roulland T. dit SKRED. Datée de 2015 et s’intitulant « Block Tag 29″…. Tag, acrylique et encre sur un format 50×50. Authentifié n° 1143 par l’artiste himself.
Nous on aime! et en prime on vous donne son profil écrit par lui même;
ROULLAND T. est un artiste entièrement autodidacte. Reconnu comme créateur d’art contemporain, il a créé des œuvres sous différentes formes (sculpture, toile, bois, mur) mais n’a cependant jamais reçu d’éducation en beaux-arts. Ses travaux sont inspirés de son vécu. ROULLAND T. est maintenant un artiste professionnel à temps plein depuis 2013, il rassemble ses idées et ses inspirations sur toile, sculpture, papier, carton, etc. Il débute sa carriere au début des années 2000. Il peint sous le pseudonyme « SKRED » sur les murs des villes, 4voies, trains au yeux de tous qui lui causerent des ennuis avec la justice et de fortes amendes. Repéré dans la rue, ROULLAND T. a exposé en galerie en 2008, préférant le partage de son art au plus grand nombre, il abandonne les galeries pour exposer à ciel ouvert dans les rues des villes. Ses travaux ont été acquis par nombre de collectionneurs privés en France, mais également en Europe et aux États-Unis. ROULLAND T. est né à Caen(France) en 1988. Très jeune le dessin l’attire et perturbe rapidement son travail à l’école, il débute la pratique du space-painting en 2002 (peinture avec des bombes aérosol) suivis du graffiti qu’il pratiquera activement. ROULLAND T. vit dorénavant en voyageant sur la France.
Inspiration Les peintures créées par ROULLAND T. sont issues de son parcours dans le Street art, utilisant souvent une spray ou un marqueur, il peint également au pinceau ou avec ce qu’il invente (carton, mousse, sac plastique, etc) reconnaissables par ses accumulations de tags sur des fonds colorés, ses projections de peinture que l’on peut qualifier d’explosives. « Une grande partie de mon inspiration est liée à mon vécu, aux galères et au moments de bonheur. J’aime beaucoup voyager, apprendre, rencontrer des gens, partager des idées ou débattre sur des points de vues différents, suivre l’actualité. Tous ça m’inspire et se retrouve dans mon atelier sur la toile ou dans mes structures. »
Sur la toile (et sculpture): « Dans mon atelier, je crée des tableaux et sculptures en laissant mon inspiration m’entraîner sur l’œuvre, c’est un flux d’idées emmagasinées que je libère et que je fais interagir par les couleurs et les formes. Le résultat qui en découle est une œuvre très personnelle de pensées et d’émotions mais en même temps concernant n’importe quelle personne. Je me suis concentré sur des expressions pures permettant au témoin au premier regard alors d’interpréter sa propre réponse. Dans ce périple à travers le Street art, j’ai pu découvrir mon style artistique et ma propre philosophie. »
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Posté par pearoid le 21 décembre 2015
Tout petit format sur carton pour ce paysage d’afrique noire que nous avons intitulé « village de brousse » pour le moment. Daté de 1985 mais la signature pose encore quelques problèmes pour être déchiffrée. R. Magilexe peut être…difficile à dire. A suivre
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Posté par pearoid le 21 décembre 2015
Chaque tableau a son histoire… Au dos est inscrit quelques indications spécifique à la peinture… Pot de confiture: laque de Garance — pain: ocre jaune, ocre rouge et Terre sombre brûlée — Bouteille: vert anglais N° 5 et N° 1, terre d’ombre brûlée —– Pour foncer du bleu outremer.
Cette petite peinture à l »huile complète notre série de NG. pas de trace sur internet pour le moment
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